- Réduire le risque de cancer : non seulement le tabac est directement lié au cancer du poumon, mais il est souvent à l'origine d'autres cancers comme le cancer du rein, le cancer de l'estomac, le cancer de la vessie, le cancer du pancréas (incurable à ce jour)
- Réduire le risque de maladies cardiovasculaires: crise cardiaque
- Réduire le risque de maladies pulmonaires: cancer du poumon, bronchite chronique, emphysème
- Réduire le risque d'accident vasculaire cérébral: rupture d'anévrisme
- Retrouver votre énergie physique: meilleur souffle, pas de toux le matin au levé
- Se débarrasser de toutes les odeurs de tabac : vêtements, cheveux, haleine
- Faire de grosses économies
- Retrouver la sensation d'avoir repris le contrôle sur sa vie
- Ne plus avoir l'impression d'être soumis au tabac à cause des envies irrésistibles de fumer
- Avoir les idées claires : chez les personnes âgées, il est prouvé qu'à long terme le tabac diminue les capacités cognitives
- Réduire le risque d'avoir un diabète de type 2
- Réduire le nombre de rides: le tabac contribue à l'apparition prématurée de rides sur le visage mais aussi sur les bras et les fesses
- Réduire le risque d'apparition de troubles de la vision: vision floue, cécité partielle ou totale, cataracte
- Chez les femmes, le tabac peut provoquer la ménopause prématurément en modifiant le fonctionnement ovarien
- Augmenter votre espérance de vie: les fumeurs ont généralement une espérance de vie d'au moins 10 ans inférieure à celle des non fumeurs. En terme de qualité de vie, les dernières années de la vie d'un non fumeur sont souvent plus agréables à vivre que celle d'un fumeur en raison d'un état de santé un peu plus solide.
Toutes les bonnes raisons d’arrêter de fumer
Il est important de faire la différence entre se mettre à fumer une seule cigarette et se rechuter complètement dans le tabagisme. Si vous faites une petite erreur de parcours en fumant une seule cigarette, cela ne veut pas dire que vous êtes à nouveau dans le cycle de la dépendance à la cigarette.
La cigarette a des effets négatifs épouvantables, entre autres sur notre oxygénation et notre tension artérielle, en passant par les risques de maladies graves comme le cancer de la bouche ou du poumon ou des affections importantes sur le plan cardiovasculaire. Après deux jours, c’est la nicotine qui est expulsée tandis que les terminaisons nerveuses de l’ex-fumeur commencent à se régénérer. L’odorat, le goût et le sommeil s’améliorent également.
Le syndrome de manque est la conséquence de la baisse brutale de la nicotine dans l'organisme en dessous d'un certain seuil auquel le fumeur est habitué ; dans cette situation, le cerveau, notamment ses récepteurs, réclame sa dose de nicotine. Nervosité, colère, agressivité, agitation, impossibilité de se concentrer, insomnie, envie de grignoter et de manger, tristesse, dépressive, anxiété, impossibilité de se concentrer...sont caractéristiques du syndrome de manque.